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Nicolas Rodier, Sale bourge
Rentrée littéraire 2020 #17
Nicolas Rodier, Sale bourge
Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des parents catholiques intégristes !
Voilà une famille comme on les aime : cathos à donf, racistes, homophobes, bien bourges, tout pour plaire ! Alors, évidemment, nul ne peut être parfait, le père est une caricature de raideur, la mère folle et violente ; à côté de la tante, un passe-lacet est un parangon de souplesse et la grand-mère, sous ses aspects les plus horribles, cache le pire… Pierre est l’aîné de six enfants. Eh oui, chez ces gens-là, on ne fait pas les choses à moitié ! Comment vivre, ou juste essayer de s’en sortir, d’avoir une relation sereine avec la personne aimée – mais peut-on encore aimer après avoir grandi dans ce milieu ? C’est le problème de Pierre qui nous entraîne dans son sillage, son mal-être et sa propre folie.
Nicolas Rodier, Sale bourge, Flammarion
« Iegor Gran, Ces casseroles qui applaudissent aux fenêtresMathias Enard, Le Banquet annuel de la Confrérie des fossoyeurs »
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